Début de nuit.
Plus de quatre heures de travail acharné pour arriver à la mouture finale de cette note, et quand je relis ce que j'y ai écrit, je me dis qu'elle aurait pu tout aussi bien être intitulée "Je fais mumuze avec mon site (2)".
Certes.
Mais bon, comme j'avais l'âme à m'épancher sur mon triste sort d'étudiant adulte, j'ai finalement opté pour un titre plus lapidaire.
Bref retour en arrière.
Depuis octobre 2003, je poursuis un dess "communautés virtuelles et management de l’intelligence collective via les réseaux numériques" auprès de l'université de Limoges. C'est vrai, un tel dess aurait normalement dû se conclure en septembre 2004 ... mais comme j'ai décidé de jouer les prolongations, ce n'est pas avant septembre prochain que j'en verrai le terme, avec la soutenance de mon application professionnelle. (Pour les impatients, sachez que j'aborderai les détails de cette appli dans une prochaine note, en vous exposant l'idée géniale que j'ai eue pour faciliter la vie des formateurs du CNP.)
Non, pas question d'appli pro.
Parce qu'avant tout cela, j'aimerais vous parler de quelques notions élémentaires du beau et grand monde de l'Internet, à savoir le html et les css. Kesako, me direz-vous fort justement ? Soyez immédiatement rassurés, je ne vais pas vous assommer ici de détails techniques, ni vous obliger à les comprendre, c'est qui le spécialiste ici, hein ? ... et puis, rien ne vous empêche d'aller cliquer sur les liens qui précèdent pour une introduction fort bien faite à ces concepts. En cliquant au bon endroit, vous arriverez sur l'excellent site "Comment ça marche ? - Encyclopédie informatique", une référence en la matière.
Foin de toute visée didactique.
Si j'ai évoqué ici ces deux outils, c'est tout simplement pour vous dire que je n'avais peut-être pas tout compris de leur usage ... ce qui est un doux euphémisme. Comment m'est venue cette révélation ? Fort simplement. J'y avais déjà fait allusion dans la note précédente, Blogger offre la possibilité de personnaliser la mise en page et les contenus de ses blogs; or, malgré une aide en ligne plutôt bien faite quoi que rédigée en saxon, j'étais plutôt déçu (pour ne pas dire franchement énervé) par les résultats obtenus. Alors, puisque je ne suis pas un garçon obstiné de nature, j'ai pensé que je pourrais peut-être lire attentivement les indications de Blogger ... ce que je fis ce dimanche après-midi.
Vacuité des artifices.
Si les statistiques de fréquentation et autres compteurs de visites ainsi que binettes peuvent avoir un charme certain, vus de très loin, ils n'ont pas franchement retenu mon attention plus de trois minutes. D'autant plus que j'aime assez la mise en page de ce blog (merci à Douglas Bowman), pour ne pas avoir envie de l'enlaidir. Ceci étant, j'étais déjà content d'être parvenu à insérer un lien "Syndiquez ce site !" dans la colonne de gauche. (Et ça, ce n'est rien que pour toi, lecteur, pour que tu puisses t'abonner aux notes que je publie sur ce site, et recevoir chaque jour ta dose d'informations vitales sur mon sublime métier.)
Content, mais pas satisfait.
Dès sa création, je voulais mettre un peu de vie dans ce blog, par exemple en partageant avec vous les quelques dizaines de photos prises durant mes sessions "Arts Plastiques" au CNP. Dans la famille "j'ai de la suite dans les idées", je vous le disais précédemment, le site "appa 2004" avait accueilli l'un de mes premiers essais de bloguage sur mon métier. Et si l'envie vous prenait de le visiter, vous découvririez rapidement un lien qui pointe vers des pages hébergées sur mac.com (ma passion de tout ce qui est Apple ne doit pas être étrangère à l'affaire ... quand la passion vous aveugle). Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais il y a peut-être plus sexy en matière de galerie photo sur le web.
Content !
Plutôt fier de lui, le garçon, oui. Je ne regrette pas de m'être inscrit voici quelques mois à l'excellentissime Flickr. J'ai pris le temps d'en observer le fonctionnement; cette semaine, j'ai décidé d'y transférer graduellement toutes les traces des éphémères productions de mes stagiaires en Arts Plastiques. Et en butinant le site, j'ai découvert que je pouvais en faire la promotion au coeur même d'Alternaute ! Et c'est là que les html, css et autres joyeusetés techniques ont fait un retour fracassant.
Sans y toucher.
Parce que, ça n'a peut-être l'air de rien, cette petite animation fort sympathique, là, dans la colonne de gauche, où sont en train de tourner toutes les photos que j'ai rendues publiques sur Flickr. Et quand bien même Flickr fournit la matière première, dans les quatre heures évoquées en tête de cette note, il y en a bien deux qui ont été consacrées à modifier avec à propos (ainsi qu'avec quelques neurones proprement connectés, il est vrai) le code de la page qui s'affiche actuellement sous vos yeux ébaubis.
Mais je suis content !
Quatre heures de travail.
Et j'en ai compris des choses, qui n'avaient pas pu franchir la membrane de mes cellules cérébrales il y a bientôt deux ans. Dans la famille "embouteillage chez les neurones", refus total de comprendre, je peux faire très fort, ma mauvaise foi ne connaît pas vraiment de limite en la matière, mais quand j'ai besoin de réaliser quelque chose qui me tient à coeur, c'est fou comme je peux comprendre vite ! Et tant qu'à faire, sans oser prétendre que je pourrais produire une feuille de style (aka "css") les yeux fermés, j'en ai compris l'architecture, sinon la logique. Même que je me suis payé le luxe d'harmoniser quelque peu la présentation de la colonne de gauche, avec des jolis fleurons qui en séparent proprement les différents blog.
Il est beau mon blog, non ?
22 mai 2005
De l'utilité d'un dess ...
Publié par jmm40 à 6:40 PM
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